Chers tous,
Nous avons eu des nouvelles d’Alain et Valérie qui ne sont pas épargnés par la pluie et la crue.
« Voilà, nos champs sont inondés. L’oise est trop haute. Le niveau de
l’eau de la rivière est supérieur à celui de nos champs. Le chemin de
halage ne peut plus nous protéger. L’eau ressurgit de la terre des
champs.
Je comprends mieux la souffrance des gens inondés chez eux. L’eau
peut-être aussi dangereuse qu’elle nous est féconde chaque jour. Ce
sont les deux versants yin et yang de l’eau. »